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ville de vanves - Page 1110

  • LE MAIRE DE VANVES POURRAIT ETRE LE PROCHAIN PRESIDENT DU COMITE STRATEGIQUE DE LA SOCIETE DU GRAND PARIS

    Les 172  membres du Comité Stratégique de la Société du Grand Paris (SGP) pourraient porter à leur tête Bernard Gauducheau, maire de Vanves (Hauts-de-Seine) en décembre prochain lors de leur prochaine séance plénière, d'aprés la lettre d'Information A.  Il remplacerait Jean Yves Le Bouillonnec qui le préside depuis sa création avec la SGP. Véritable laboratoire d’idées et d’échanges entre les élus des collectivités d’Ile-de-France, la SGP et ses partenaires, ce comité accompagne la réflexion du directoire de la SGP dans ses orientations et ses choix concernant la création du réseau Grand Paris Express. Il est composé  des représentants des communes traversées par le réseau Grand Paris Express, les Établissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI) dont au moins une commune est traversée par le réseau GPE,  4 parlementaires dont 2 députés et 2 sénateurs, des représentants des Chambres de Commerce et d’Industrie d’Ile de France ainsi que la Chambre régionale des Métiers et de l’Artisanat et de 6 membres du CESER. Et une petite équipe administrative dirigée  par Jeremy Coste, maire adjoint à Vanves jusqu’à ces derniers jours puisqu’il part à Nouméa, prendre son poste de Directeur de cabinet de la députée maire le 2 Novembre prochain.

    Ce Comité Stratégique a constitué 3 groupes de travail qui planchent  le premier sur « Concept et performance du réseau GPE »  (groupe A), c'est-à-dire la sécurité, la signalétique, la mobilité et l’accessibilité en gare et dans les trains, l’optimisation des nœuds de réseaux, l’inter-modalité, connexions et rabattements, le  matériel roulant. Le second travaille sur « les gares » (groupe B) : Il s’agit de  rendre le réseau Grand Paris Express efficace, agréable, utile et rassurant en installant des structures publiques (crèches, police, point information réseau, postes, services médicaux, parkings, velib’, autolib’, garages à vélo…), en intégrant la culture sur le réseau GPE (espaces dédiés à l’affichage/exposition artistique, œuvre d’art, mise en valeur du patrimoine culturel environnant, scènes musicales pour chanteurs itinérants),et l’activité économique dans les gares. Le troisième se préoccupe de « l’environnement des gares » (groupe C), c’est à dire de l’insertion de la gare dans son quartier (enjeux fonciers, urbanisme, logements, bureaux…). « Le Comité stratégique s’est fixé deux objectifs prioritaires : que le Grand Paris Express soit réalisé dans les meilleurs délais, et que les habitants bénéficient d’une qualité de service exemplaire » indique Jean Yves Le Bouillonnec

    Bernard Gauducheau s’est beaucoup impliqué dans le premier groupe de travail dont il est le co-rapporteur avec Eric Berger, membre du CESER et qui a abordé de nombreux sujets depuis 2013 : Le confort dans les trains, l’information des voyageurs, la qualité de service perçue par les voyageurs sur le quai et les riverains aux abords des lignes, le design du matériel roulant,  la maîtrise des vibrations pendant la phase d’exploitation qui inquiète beaucoup les riverains, le risque présenté par les inondations… qui donne lieu à des auditions comme ce fut le cas avec le directeur Régionale et interdépartemental de l’environnement et de l’énergie (DRIEE) et un représentant de la préfecture de police sur la prévention des crues, de la RATP et d’Alstom sur le matériel roulant où les co-rapporteurs sont insisté sur la nécessité de réfléchir sur la capacité des trains afin d’anticiper l’évolution de la demande de transports. Ils effectuent aussi des visites comme ce fut le cas le 10 Juillet dernier à Issy les Moulineaux pour visiter la Maison de projet installée prés du chantier de la gare Issy-RER comme ce sera bientôt le cas à la gare de Fort d’Issy/Vanves/Clamart et dans tous les autres chantiers de gares de la ligne Sud 15.

  • NIWA UNE RESIDENCE COAL ET ZEN DANS UNE VILLE DE VANVES PLEINE DE QUIETUDE

    Ce titre pourrait bien résumer le sentiment du futur propriétaire qui a feuilleté  la plaquette de présentation de cette résidence s’il s’est rendu au bureau de vente de la future résidence NIWA de Bouygues Immobilier installé dans le square de l’Insurrection (photo lors du premier week-end où il a été pris d'assaut par les futurs acheteurs). De plus d’une vingtaine de pages, elle est de grand format avec de superbes photos sur papier glacé et ce titre « NIWA Vanves ». Dés la première page, Bouygues Immobilier indique qu’il signe « une nouvelle réalisation d’exception » : « Vanves accueille NIWA une nouvelle conception de l’habitat en ville, en pleine osmose avec la nature ».

    L’architecte japonais Kengo Kuma et le paysagiste Michel Devisgnes dont les photos apparaissent sur les deux pages accompagnés d’un texte les présentant,  invitent ainsi les potentiels acheteurs « à porter un regard neuf sur un cadre de vie où le beau sedevine depuis l’extérieur avant de se révéler. Inspirée de l’esthétique des intérieurs traditionnels japonais, NIWA invente des appartements où habiter s’apparente à une expérience sensorielle : jeux d’ombres, couleurs intemporelles, brise-soleil en bois, texture d’un mur, lumière d’un jardin, silhouette d’un arbre »… « Bienvenue dans l’univers de la Sérénité ». Cette plaquette présente des vues de l’immeuble depuis la rue Aristide Briand en insistant « sur les lignes pures de l’immeuble qui installent d’emblée, un décor apaisant comme l’enveloppe légère d’un secret bien gardé. Les larges toitures rappellent l’architecture des maisons de thé. Des brise-soleil et des gardes-corps vitrés soulignent la fluidité extérieure et intérieure. Des jardins miniatures inspirés des « tusboniwa » japonais s’installent dans les retraits des façades,  véritable cour jardin aux proportions intimes qui utilise le bois, la pierre et le végétal. Les enduits confèrent à la façade de la résidence un aspect velouté qui s’irise selon les variations de la lumière ».

    Puis des espaces communs intérieurs avec un plan d’ensemble en insistant sur ce « premier regard » qui « perçoit depuis la rue l’étonnante quiétude du lieu qui distille une atmosphère apaisante. La transparence du porche laisse entrevoir le calme du jardin intérieur que la résidence entoure comme un cocon. Les appartements profitant de belles orientations donnent pour la plupart sur ce véritable havre de paix », avec des baies vitrées, des balcons et des terrasses « dont le sol est en bois pour prolonger le plaisir de vivre pieds nus ». Les pages suivantes ouvrent sur ce jardin en trois dimensions en insistant sur « ce calepinage de petits pavés et de grandes dalles au son qui réinterprètent les célèbres pas japonais » et la composition florale, les appartements, les terrasses, en insistant sur des prestations de qualité et les performances énergétiques de cette résidence : « Nous avons travaillé sur des éléments passifs plutôt que sur des dispositifs actifs. Nous avons également choisi un mode constructif simple et très performant (structure à inertie lourde en béton, isolation thermique par l’extérieur traitant 100% des ponts thermiques) ».

    Cette belle plaquette se termine sur Vanves : « Aux portes de Paris, un village restauré » avec ces commentaires : « La plus petite commune des Hauts de Seine préserve un art de vivre empreint de quiétude, à découvrir en parcourant ses ruelles pavées et ses placettes agrémentées de fontaines. Le vieux Vanves accueille des terrasses ensoleillée où il fait bon flâner après le marché. Le prestigieux château des Condé forme le cadre du lycée Michelet dont les classes préparatoires sont très côtées. Avec ses hautes voûtes en verrière récemment restaurés, la chapelle Larmeroux illustre le patrimoine vanvéens des années 20 et intègre un vaste ensemble d’équipement réalisé au début du 20éme siécle pour faire cohabiter harmonieusement toutes les générations ». Ainsi tout est fait pour rassurer le futur propriétaire dans son choix 

  • VANVES DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    HACHETTE LIVRE  : Le Monde d’Hier (daté du 20 Octobre 2015) a consacré une page à Arnaud Noury, le patron qui a pris les rênes d’Hachette Livre en 2003 et  a fait déménager son siège à Vanves : « l’irréductible gaulois du livre ». Un titre bien choisi puisque sort en librairie demain le nouvel Astérix : « Le papyrus de César ». « Je suis très optimiste sur l’avenir du livre qui demeure stable » explique t-il dans cet article  en ajoutant « n’enterrons pas le livre prématurément, restons des éditeurs, pas des fournisseurs de contenus ». Cet article donne  l’occasion de découvrir le parcours professionnel étonnant de ce « Frenchie » qui s’est installé dans la cour des grands, après avoir remporté en  2014  une victoire contre Amazon dont le patron sommait Hachette d’accorder au distributeur américain des rabais plus importants sur le prix des livres afin de faire vivre le marché des e-book numérique

    COLLEGES : Lors de sa séance plénière de vendredi dernier le conseil départemental des Hauts de Seine (CD92)  a voté les dotations de fonctionnement des collèges prévues pour l’année 2016 : 115 552,50 € pour Saint Exupery et 126 693,61 € pour Michelet sachant que pour la partie lycée, cette cité scolaire reçoit 169 117 59€ de la Région pour son fonctionnement. Saint Exupery reçoit 1300 € du CD 92 en supplément car il fait partie des 42 collèges qui hébergent des Unités Localisées pour l’inclusion scolaire (ULIS). Celles-ci accueillent de 6 à 8 jeunes souffrant de déficience mentale, sensorielle ou motrice qui participent à l’activité des autres classes tout en bénéficiant d’un soutien pédagogique individualisé

     

    CONCESSIONNAIRES : Les conseillers municipaux de Vanves ont reçu, lors du dernier conseil municipal, plusieurs rapports d’activités des concessionnaires dans lesquels ils ont pu piocher quelques chiffes intéressant sur leurs activités de l’année passée bien sûr. Ainsi le marché de Vanves comptait en 2014,  43  commerçants dont 8 fruits et légumes, 4 poissonneries, 3 volaillers, 3 charcutiers, 3 boulangers, 2 bouchers, 2 fleuristes, 2 fromagers, 2 fruits secs et olives, un champignon, un chevalin, un détaillant légumes, un primeur, un produits greco-arménie, un producteur de fruits et légumes, un produits italien, des traiteurs antillais, libanais, asiatique, marocain et une triperie. Son rapport constatait  une fréquentation des volants est en baisse et  une stagnation des demandes de commerçants alimentaires. Par contre, « les problèmes de stationnement se sont nettement améliorés depuis l’ouverture du parking Cabourg » indiquait le société EGS (Entreprise de Gestion et de Service). Elior chargé de la restauration indiquait avoir servi  351 888 repas  en 2014  soit +2,9%  soit 330 182 dans les écoles et centres de loisirs (+3,1%) , 5613 pour le portage  domicile (- 3%) , 7025 au foyer Danton qui a regressé de 9%,  et 9068 dans les créches (+11%). Occasion pour le groupe PS d’interroger la municipalité sur la baisse de qualité des repas servis dans les écoles dont s’étaient plaint les parents d’élèves et auquel remédie la société Elior en ayant mis en place un « process » pour améliorer les choses. Enfin, selon la sciété Moncassin Automobile qui s’occupe des l’enlèvement des véhicules et leur mise en fourrière,  en 2014, 203 véhicules ont été enlevés pour stationnement gênant, 62 pour stationnement abusif, 18 suite à un une immobilisation, 9 à la suite d’un accident, 9 pour vol soit 301 au total